Parce qu’elle revient sans cesse, qu’elle est généralement modérée, assimilée au prix de la guérison ou du bon diagnostic, la douleur provoquée par les soins est minorée, voire déniée par les soignants.
Mais c’est aussi parce qu’elle est quotidienne, répétée, négligée qu’elle est si mal vécue par les patients.
Les moyens techniques existent pourtant, et ils sont la plupart du temps disponibles. Ils peuvent être maîtrisés et transmis entre collègues, et bien sûr, aux plus jeunes.
À découvrir chaque année, une journée en octobre, dédiée aux "Douleurs provoquées par les soins", conçue et organisée par l’association CNRD (Centre National de Ressources de lutte contre la Douleur)